Lu dans La Presse :
Pourquoi je supporte la grève des chargés de cours...
Par Carl Grenier
Chargé de cours en science politique
et gouverneur de la Fondation de l’Université Laval
Comme bon nombre de mes collègues qui ont une activité professionnelle extra universitaire, activité qui est souvent directement reliée à leur engagement comme chargé de cours, je me suis trouvé du côté patronal pour presque toute ma vie active. D’abord comme haut fonctionnaire au gouvernement fédéral et ensuite à Québec, et plus récemment comme dirigeant d’un groupe pancanadien d’entreprises manufacturières, j’ai eu à défendre des intérêts publics et privés contre les attaques de gouvernements et de groupes étrangers dans le domaine du commerce international.
Plusieurs amis et parents m’ont dit leur étonnement de m’apercevoir — à travers les médias, bien sûr — défiler avec une pancarte à la main sur les lignes de piquetage du syndicat des chargés et chargées de cours de l’université Laval (SCCCUL).
Vous pouvez lire la suite sur Cyberpresse ou sur le blogue des grévistes.
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1 commentaire:
J'ai bien aimé ce texte dans cyberpresse et je supporte les chargés de cours. Sans eux, l'Université Laval serait morte, car c'est les chargés de cours qui offre des cours intéressants, sauf quelques exceptions, comme toute bonne entreprise.
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