
Selon le syndicat, malgré des compromis majeurs de leur part, l'administration de Concordia refuse toujours de modifier ses positions rigides. "Brièvement, il a semblé que l'administration allait négocier de façon sérieuse après notre première journée de grève, le 15 mars, a dit le président du syndicat, André Legault. Malheureusement, ils ont plutôt choisi de rester campés sur leurs positions. Nos deux dernières journées de négociation ont été une perte de temps totale."
"Le niveau de frustration parmi nos membres est très élevé. Nous essayons de traverser cette épreuve et nous avons retiré quelques revendications. Pourtant, l'université n'apparaît aucunement intéressée par un règlement de nos négociations", a ajouté le porte-parole syndical.
Les 454 travailleuses et travailleurs de soutien n'ont pas eu d'augmentation de salaire depuis 2002. Au mois de février, les membres du syndicat ont voté, à 87 %, en faveur de trois jours de grève. Le personnel de soutien de Concordia est affilié à la CSN.
Photo: CSN
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