Le Devoir publie jeudi matin une lettre ouverte au président de la CSQ.
Extraits :
(...)"La liberté syndicale, la liberté de négocier, n'est pas la propriété des organisations syndicales. C'est la liberté de milliers de personnes salariées que portent les organisations syndicales et qu'elles doivent défendre et protéger sans relâche."
(...)"Les conséquences des positions tyranniques du gouvernement sont considérables. Elles ne peuvent qu'encourager l'arrogance et l'autoritarisme des employeurs locaux (commissions scolaires, cégeps, hôpitaux. etc.) et créer un climat étouffant et démotivant. Les gestes du gouvernement ayant un effet d'entraînement sur toute la société, son attitude pollue l'ensemble des relations du travail au Québec."
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