
Les syndiqué-es sont en campagne depuis le début de l’année pour faire reconnaître leur travail. Ils réclament une augmentation du budget consacré au transport écolier de 15 millions $ par année, en plus d’un ajustement basé sur l’indice des prix à la consommation ; l’instauration du principe d’enveloppes budgétaires exclusivement dédiées au transport écolier pour éviter que les commissions scolaires ne détournent ces fonds à d’autres fins, comme certaines le font depuis 1997 ; le report des contrats de gré à gré, entre les transporteurs et les commissions scolaires, pour empêcher les diminutions des conditions de travail qui peuvent résulter d’un processus d’appel d’offres public ; et, enfin, l’adoption d’une politique nationale de discipline et de sécurité dans le secteur.
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