
Après une première journée de grève, l’employeur est revenu à la table de négociation avec des offres inférieures à celles qu’il avait déjà déposées. « Le climat de travail est très difficile au service du transport adapté. L’employeur est intransigeant et il a clairement la volonté d’utiliser de plus en plus la sous-traitance », a expliqué Jean Lacharité, président du CCSNE. Les employé-es disposent d’une banque de cinq jours de grève, dont deux ont été utilisés jusqu'à ce jour.
Les employé-es demandent en premier lieu la parité des primes avec les chauffeurs du transport urbain. En date du 3 mai, il n’y avait eu aucun échange avec la partie patronale depuis 70 jours. De son côté, l'employeur devait donner, en début de semaine, un certain nombre de réponses à la partie syndicale par la voix du conciliateur, mais le syndicat n’en a toujours eu aucune nouvelle.
Source: CSN
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