
"Nous craignons plus particulièrement les pertes d'emplois dans l'éventualité où les acheteurs décidaient de déménager le siège social de Montréal vers une autre ville", a déclaré Michel Ouimet, vice-président exécutif du SCEP-FTQ.
Aucune garantie
"Il est impossible de prévoir exactement quels seront les impacts de cette transaction sur l'emploi et les conditions de travail de nos membres. Et franchement, c'est ce qui nous inquiète le plus à l'heure actuelle. Malgré les déclarations des dirigeants de la Teachers qui se veulent rassurantes pour les travailleurs et travailleuses, nous n'avons aucune garantie quant à l'avenir", a ajouté M. Ouimet.
Protéger les emplois
"Nous surveillerons de près le processus et les intérêts de nos membres. On ose espérer que les acquéreurs n'ont pas l'ambition de nous acheter pour démanteler ensuite l'entreprise. Il n'y a pas que les revenus et les profits à considérer, on doit aussi prendre en compte les travailleurs et travailleuses. Car eux aussi, déterminent la valeur d'une entreprise", a conclu le syndicaliste.
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