Sous prétexte qu'une loi anti-scabs dans les secteurs économiques de juridiction fédérale aurait pour effet de "paralyser l'économie" et que c'est bien trop compliqué d'agir en tant que gouvernement minoritaire, le ministre conservateur du travail ne bougera pas sur la question. Bref, les conservateurs favorisent un statu-quo pro-patronal.
À lire dans Le Devoir : Scabs : Blackburn préfère le statu-quo
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1 commentaire:
" «Un service essentiel, dans la partie I du Code canadien du travail, c'est quand la santé du public est en danger. La santé de l'économie canadienne n'est pas vue comme un service essentiel», rappelle le ministre [M. Blackburn]." Tabernak, quelle bêtise.
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