On apprend dans Le Devoir de ce matin qu'une étude d'ampleur de l'OCDE contredit l'Institut économique de Montéal qui affirme depuis des lustres que la syndicalisation et le salaire minimum causent du chômage. Selon l'étude en question le salaire minimum n'aurait pas d'effet significatif direct sur le taux de chômage, tout comme le taux de syndicalisation et la réglementation du marché du travail par des mesures de protection de l'emploi. Mieux : la présence d'un mécanisme de coordination/concertation centralisé sur les négociations salariales conduit à des taux de chômage plus faibles. Et vlan!
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