
Le but de l'opération est de faire revenir l'employeur à la table de négociation. «Ça fait un an que nous discutons, il est temps que ça débloque!» s'exclame Claude Benoit, président du syndicat affilié au SCFP. «Nous sommes sérieux, nous sommes prêts à augmenter la pression, mais notre objectif n'est pas de faire la grève, précise-t-il, notre objectif c'est de signer une bonne convention collective qui va protéger le pouvoir d'achat de nos membres et de leurs familles.»
Notons que les chauffeurs d'autobus et les opérateurs de métro de Montréal n'ont pas exercé leur droit de grève depuis 20 ans. Leur contrat de travail est échu depuis le 7 janvier dernier. Espérons qu'ils obtiendront plus de résultats que les syndiqués de l'entretien.
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